Le mercure est considéré comme le métal lourd le plus toxique

Au niveau planétaire, le mercure est reconnu comme neurotoxique (action sur le système nerveux), néphrotoxique (les reins), immunotoxique (le système immunitaire) et perturbateur endocrinien (le système hormonal). Il fait partie des 10 substances qui préoccupent le plus l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

En Europe, mandatée par la Commission Européenne, la société d’expertise Bio Intelligence Service a produit une étude, en 2012, qui préconise l’arrêt du mercure dentaire.

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La toxicité du mercure n’est pas stoppée par l’amalgame, puisque comme pour tous les autres métaux lourds présents dans un amalgame dentaire, le mercure :

  • s’évapore et pénètre dans les tissus par la respiration,
  • passe, par l’intermédiaire des poumons, dans le sang, contaminant ainsi quasiment tous les organes,
  • passe, à partir de la muqueuse buccale, directement dans les vaisseaux lymphatiques,
  • les veines du maxillaire supérieur le conduisent directement au cerveau…

Interdiction de l'amalgame dentaire

Au Japon, les amalgames dentaires au mercure ont été abandonnés depuis trente ans. 
En Russie, ils ont été interdits en 1985, au vu de centaines d’études sur les dangers des plombages au mercure.
La Norvège condamne l’usage du mercure dans toutes ses applications et il y est interdit d’obturer les caries avec des amalgames. 
En Suède, on ne pose plus d’amalgames depuis 1999. 
En Allemagne, la pose d’amalgames dentaires n’est même plus enseignée aux étudiants dans les facultés dentaires.
En Californie, les cabinets dentaires qui utilisent l’amalgame dentaire doivent arborer un panneau bien visible avec l’inscription suivante : « Attention, ce cabinet pose des obturations à l’amalgame. L’amalgame contient du mercure. Les patients traités avec ce matériau d’obturation s’exposent à cette substance chimique toxique. L’Etat de Californie a connaissance du fait que le mercure peut provoquer des déformations à la naissance et d’autres troubles de la reproduction. »

  • Au Japon, la prévalence de la maladie d’Alzheimer reste faible (environ 2 %), malgré une progression des caries.
  • Et cette faible prévalence peut s’expliquer par l’interdiction d’utiliser le mercure pour les soins dentaires.
  • Une explication d’autant plus plausible que les Japonais expatriés apparaissent quasiment aussi sensibles à cette maladie que les habitants de leurs pays d’adoption
  • Autre constat troublant, le cerveau des malades d’Alzheimer possède des concentrations mercurielles plus élevées que la moyenne, tandis que dans la majorité des cas, leur taux de mercure sanguin est 2 à 3 fois plus élevé…

Mercure dentaire et maladies émergentes

  • Le mercure est en particulier mis en cause dans la multiplication des « maladies émergentes », c’est-à-dire des maladies qui se multiplient depuis les années 1980 : fibromyalgie, syndrome de fatigue chronique (SFC), allergies de toutes sortes, dépression, spasmophilie, troubles de la sensibilité neuro-musculaire, infections chroniques, mycoses récidivantes, troubles du métabolisme, troubles de l’attention et l’hyperactivité chez les enfants, migraines et douleurs diffuses.
  • Mais la maladie de Parkinson, la sclérose en plaque, l’autisme et de nombreux cas de cancers peuvent aussi être liés à une intoxication au mercure.
  • Depuis de nombreuses années, de nombreuses études, publiées dans des revues scientifiques de référence, mettent en évidence qu’il existe un lien incontestable entre une exposition à de faibles doses de mercure et le développement de la maladie d’Alzheimer (ainsi que d’autres maladies neurodégénératives…).
  • La répartition mondiale de la maladie d’Alzheimer correspond étonnamment à celle des maladies carieuses, soignées avec des amalgames au mercure.

Diagnostic d'une intoxication au mercure

Les éléments toxiques comme le mercure, le plomb, l’aluminium, le cadmium sont très dangereux pour la santé et peuvent générer des troubles métaboliques graves, interférer avec le développement normal de la personne et son fonctionnement cérébral.
L'impact négatif des métaux lourds sur l'organisme humain et animal est démontré par de nombreuses études publiées par des instituts de recherche, l'OMS, la FAO et d'autres organismes.
L'exposition à ces agents toxiques devient un véritable danger public. 
De nombreux symptômes sont associés à cette intoxication.
Elle est très difficile à diagnostiquer car les métaux lourds ne circulent pas dans le sang et ne sont donc pas repérables par les méthodes d’analyses classiques.

  • Nous proposons dans certaines situations, des techniques immunologiques sensibles et spécifiques
  • Ces outils de diagnostic nous permettent de vérifier si les plaintes d’un patient venant nous consulter pour cause de fatigue inexpliquée sont objectivées par une surcharge en mercure.
  • Mercure et métaux lourds font partie des multiples facteurs pouvant être impliqués dans le syndrome de fatigue chronique.

Chelation douce des métaux toxiques

  • Nous ne recommandons pas les chélations chimiques avec DMPS et DMSA qui provoquent beaucoup trop d'effets secondaires.
  • Nous préférons une chélation douce et individualisée selon des dosages biologiques.
  • Nous préconisons cette approche individualisée : plus respectueuse de la biologie et favorisant le rétablissement de la santé.
  • Ce drainage des métaux toxiques représente un atout majeur pour rester en bonne santé, et avoir de bonnes dents et de bonnes gencives.